Esker – Résultats semestriels 2009

Le chiffre d’affaires d’Esker pour le premier semestre 2009 est en progression de 3,6% à taux de change courants et stable (-1%) à taux de change constants. Au cours du premier semestre, l’activité d’Esker a été très dynamique en Europe avec une progression de 10% par rapport à 2008. La France en particulier a vu ses ventes croître de plus de 20%, alors qu’au Royaume Uni ou en Allemagne les marchés ont été plus atones. Les Etats-Unis, quant à eux, demeurent sensiblement affectés par la conjoncture économique, même si certains signes de reprise commencent à apparaître.

Depuis plusieurs années, Esker investit dans le développement et la commercialisation d’offres logicielles en mode SaaS (Software as a Service).

Ce nouveau mode de commercialisation des logiciels d’entreprises s’affirme de plus en plus au niveau mondial comme une révolution du métier d’éditeur et vient remplacer le modèle traditionnel basé sur les ventes de licences. Précurseur dans ce domaine, Esker réalise aujourd’hui près d’un tiers de son chiffre d’affaires en mode SaaS, dont 73% en France. Ces activités sont en croissance de 48% au 30 juin 2009.

Les offres SaaS d’Esker (FlyDoc et Esker on Demand) atteignent aujourd’hui une maturité qui permet leur commercialisation dans toutes les filiales du Groupe. Pour le premier semestre 2009, la croissance des solutions SaaS hors de France atteint 65%, y compris sur le marché américain pourtant difficile sur la période.

Tendances pour 2009

Esker réalise sa meilleure performance pour un premier semestre depuis que le Groupe a entamé son repositionnement sur les solutions de dématérialisation en 2001. La récurrence du chiffre d’affaires (activités SaaS, maintenance logicielle,

consulting et services) ainsi que la saisonnalité traditionnelle des activités en faveur du deuxième semestre de l’année, permet d’envisager une année 2009 rentable hors modification des conditions de marchés.

Les solutions SaaS devraient continuer à progresser sur un rythme comparable à celui du premier semestre. Par ailleurs, si les premiers signes de reprise se confirment, le deuxième semestre 2009 pourrait être plus dynamique que le premier, principalement pour ce qui concerne le quatrième trimestre.

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