Dans le cadre d’un projet de consolidation et de renouvellement de son système d’informations, Euromaster a choisi le mode Saas et opté pour la suite d’outils de communication et de collaboration Google Apps Premier qui bénéficiera d’ici peu à plus de 5 500 utilisateurs à travers 10 pays.Euromaster se positionne comme le spécialiste incontesté du pneu aussi bien auprès du grand public que des professionnels, avec une couverture nationale et européenne. Euromaster est présent dans 10 pays européens et compte plus de 11 800 collaborateurs dans plus de 1 700 points de vente, dont 300 en France.
La problématique
La démarche d’Euromaster s’inscrit dans un projet de consolidation et de renouvellement du système d’informations, en réponse à une diversité des applications de messageries.
Le choix
L’équipe informatique a pris le temps de la réflexion afin d’envisager les différentes options possibles. Elle a donc consulté plusieurs éditeurs de logiciels mais également des infogéreurs traditionnels. Lorsque le Cloud Computing est apparu comme une possibilité, Google Apps Premier s’est présentée comme la solution Saas engendrant le plus de bénéfices. Le mode SaaS qui n’était pas un objectif initial, il s’est présenté comme une opportunité.
« Au delà des aspects coûts qui sont prédominants dans le contexte actuel, ce sont d’une part les nombreux services collaboratifs proposés par la solution et la standardisation imposée qui ont été déterminants dans le choix de Google Apps ». explique Olivier Carré- Pierrat, Directeur des infrastructures Euromaster.
Le choix d’Euromaster a été déterminé par plusieurs critères :
– La flexibilité : pouvoir disposer d’une plateforme qui « évolue automatiquement »,
les mises à jour s’effectuant en temps réel, est un réel atout,
– Le Time to market : la plateforme est toujours accessible depuis n’importe quel
endroit et permet une utilisation depuis tous les supports : PC, ordinateur portable ou
encore mobile,
– Le coût : le mode SaaS présente un avantage considérable d’un point de vue
financier.
Viennent ensuite s’ajouter des bénéfices non escomptés au départ du projet :
– l’aspect collaboratif, qui n’était absolument pas prévu initialement, s’avère être
totalement adopté par les utilisateurs et s’ancre de plus en plus dans le quotidien.
« L’essayer, c’est l’adopter » conclut Olivier Carré-Pierrat,
– Le moteur de recherche intégré permet de retrouver l’ensemble des informations nécessaires, sans perdre du temps à tout classer,
– La capacité de stockage représente un véritable atout pour les utilisateurs,
La simplicité d’utilisation et la flexibilité pour les personnes nomades sont les premiers bénéfices cités par les utilisateurs bénéficiant déjà de la solution. Les autres pays suivront et mi 2010, tous profiteront de Google Apps Premier.
La mise en œuvre
Les étapes clés du projet :
– Juin 2008 : Réflexion sur l’évolution du système,
– Juillet 2009 : Début du déploiement,
– Décembre 2009 : déploiement effectué pour la moitié des utilisateurs
(près de 3 000 en France et en Angleterre),
– Mi 2010 : la solution sera déployée pour les 5 500 utilisateurs du groupe.
La solution Google Apps Premier est en cours de déploiement au sein du groupe
Euromaster depuis juillet 2009. A ce jour, environ 1 000 personnes l’utilisent au quotidien sur un total de 5 500 personnes. Après un démarrage maitrisé, l’essentiel du déploiement se déroulera d’ici le deuxième trimestre 2010.
Les bénéfices
« Avant même d’être déployée, la solution nous a apporté un premier bénéfice. Alors que nous aurions pu ne retenir que Gmail, nous avons eu l’opportunité d’adopter Documents, Agenda, Google Sites, Videos for business ou encore le Chat. Tant de fonctionnalités supplémentaires dont nous n’aurions pu imaginer pouvoir bénéficier grâce à ce projet au demeurant classique. Nous n’avions pas forcément besoin d’applications spécifiques, mais le fait de les avoir disponibles, nous fait prendre conscience de son utilité. Notre plateforme est beaucoup plus riche et plus complète qu’elle ne l’aurait été avec une approche traditionnelle », souligne Olivier Carré-Pierrat.
Par ailleurs, si le sujet de la sécurité des données a été soulevé quand le Cloud Computing s’est imposé comme une évidence, les doutes ont vite été levés. Une partie du parc informatique d’Euromaster est déjà infogérée, l’idée de passer en mode Saas n’a donc pas été un frein pour l’entreprise.