Nette poursuite de la croissance
Au cours du premier trimestre 2010, le chiffre d’affaires d’Esker progresse de 12% à taux de change constant et de 11% à taux de change courant par rapport au même trimestre de l’année précédente. Ce premier trimestre 2010 amorce le retour du groupe vers une croissance à deux chiffresCroissance positive dans toutes les régions
Même si la zone Asie Pacifique continue d’afficher la meilleure performance du groupe à +29%, les zones Amérique et Europe poursuivent leur progression et affichent respectivement 11% et 10% de croissance. Ce deuxième trimestre
consécutif de croissance positive aux États-Unis confirme la reprise des projets informatiques dans cette partie du monde. L’Europe maintient une bonne performance grâce aux solutions à la demande (SaaS ou Cloud Computing).
Dynamisme confirmé des solutions SaaS
Les services de dématérialisation « à la demande » (FlyDoc et Esker on Demand) continuent de croître à un rythme soutenu (+42%). Les solutions traditionnelles (DeliveryWare) résistent bien (-2%) malgré un marché qui demeure difficile.
Le chiffre d’affaires généré par les offres « à la demande » d’Esker représente 40% de l’activité globale sur ce premier trimestre. Pour la première fois, Esker a facturé pour plus d’1 million d’Euros de transactions SaaS sur le seul mois de mars 2010 ce qui correspond à près de 10 millions de pages traitées en un seul mois.
Un premier trimestre rentable
Le bon niveau des ventes du premier trimestre 2010, associé à un maintien des coûts, permet à Esker de dégager un résultat opérationnel positif sur cette période. Au 31 mars 2010, la trésorerie du groupe s’établissait à 8,2 millions d’Euros (contre 7,2 millions d’Euros au 31 décembre 2009).
Tendances pour le reste de l’année 2010
Les tendances constatées au cours du trimestre écoulé devraient se prolonger avec un bon dynamisme de la région Asie/Pacifique et un rythme toujours soutenu de la croissance des activités SaaS. Le rebond des États-Unis devrait se confirmer grâce aux nombreux contrats SaaS signés sur la période et qui n’ont pas encore généré de chiffre d’affaires. La récurrence du chiffre d’affaires (plus de 66%) combinée à une gestion rigoureuse des dépenses permettra de dégager à nouveau un résultat d’exploitation positif en 2010.