Par l’Atelier de BNP Parisbas
Pour rendre ces services plus respectueux de l’environnement, le laboratoire Clouds propose d’ajouter une couche entre machines virtuelles et clients, dédiée à réduire les dépenses énergétiques sans rogner sur les besoins.
Les services hébergés dans les nuages ne doivent pas seulement être sécurisés et efficaces, affirme une équipe de chercheurs australiens*. Ils doivent aussi être respectueux de l’environnement. Les scientifiques mettent ainsi le doigt sur un problème encore peu abordé en matière de cloud computing. Les serveurs faisant tourner ces plates-formes de services, de plus en plus utilisées par les entreprises pour stocker des données et accéder à des logiciels performants à moindre coût, consomment des quantités importantes d’énergie. Loin de déconseiller d’utiliser ces services, ils appellent à une prise de conscience générale et à la mise en place d’une "architecture" spécifique, qu’ils baptisent de "green service allocator".
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