L’institution financière, leader mondial, a choisi Moab Adaptive Computing Suite comme "gestionnaire intelligent d’automatisation", pour sa nouvelle stratégie cloud: ce choix constituerait "l’initiative private cloud la plus audacieuse jamais lancée".
Moab doit permettre à la banque d’éliminer le hardware redondant et inutilisé, d’améliorer l’utilisation de plateformes middleware, de réduire sa facture énergétique, d’offrir de meilleurs services à ses clients et d’économiser $1 milliard en comparaison des coûts IT traditionnels.
Moab Adaptive Computing Suite va ainsi gérer des tâches vitales, comme l’arbitrage des conflits de ressource, les recommandations sur les meilleures conduites pour résoudre les problèmes et la réduction du temps d’acquisition, de livraison et d’optimisation des plateformes et des services informatiques.
Selon Donna Scott de Gartner Research, "les organisations qui veulent tirer profit au maximum du cloud computing doivent investir dans les "gouverneurs de services", composants critiques de l’infrastructure temps réel, qui agit comme un cerveau pour mener à bien les actions d’optimisation. Ils rendent les infrastructures cloud plus intelligentes et agissent selon des SLA et des règles permettant aux organisations de faire évoluer les projets cloud self-service en clouds riches, souples et qui s’optimisent automatiquement".
Les dirigeants de banques font appel au cloud pour gérer la complexité et la fragmentation de leurs centres de données internationaux, fruits de plusieurs années de concentration dans ce secteur. Ce projet d’infrastructure cloud tire profit des meilleures pratiques apportées par le cloud: l’agilité, la réduction du risque, des réductions de coûts et une optimisation dynamique. Du fait de leur envergure internationale, les banques pourraient être à la pointe dans la définition de nouveaux standards informatiques, assurant plus d’agilité, de productivité et d’efficacité.